Un périodique destiné à faire connaître aux chercheurs comme aux curieux des ouvrages rares ou difficiles d’accès relatifs à Chateaubriand, mais aussi les collections de la bibliothèque.

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Un périodique plein de découvertes

Le Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups – Maison de Chateaubriand publie depuis 2011 Les Cahiers de la Maison de Chateaubriand, dans lesquels sont ou seront publiés :

  • des extraits d'ouvrages, brochures ou essais anciens et libres de droits ayant pour sujet Chateaubriand ;
  • des dossiers de documents relatifs à Chateaubriand ou aux expositions organisées par la Maison (qui n’ont pu trouver place dans les catalogues ou qui les complètent) ;
  • des dossiers consacrés à la réception dans la presse de l’œuvre de Chateaubriand ;
  • ou encore des autographes conservés dans les collections du Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups – parc et maison de Chateaubriand, accompagnés d’une présentation courte et complétés par l’annotation indispensable à leur utilisation.


Les Cahiers de la Maison de Chateaubriand
(5 numéros parus de 2011 à 2013, puis un numéro à paraître par an à compter de 2015) sont disponibles :

  • dans les boutiques des musées du Département des Hauts-de-Seine : Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups – parc et maison de Chateaubriand, Châtenay-Malabry ; Musée du Domaine départemental de Sceaux ; Albert Kahn, musée et jardin départementaux, Boulogne-Billancourt)
  • par correspondance.


Numéros 1 à 7 : 5 € le numéro

Numéro 8 : 10 €

En vente à la boutique de la maison de Chateaubriand et par correspondance (renseignements : 01 55 52 13 00)

 


N° 1 (juillet 2011)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 1

164 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 978-2-9504496-0-3

 

Découvrez dans le premier numéro des Cahiers de la Maison de Chateaubriand les observations critiques faites par l’abbé André Morellet sur les premières œuvres de Chateaubriand : Atala, le Génie du Christianisme et les Martyrs.

Complétées d’une notice biographique par Campenon ainsi que d’une notice nécrologique par Chateaubriand, ces Observations constituent un témoignage précieux de l’accueil des premiers textes de Chateaubriand par un défenseur du siècle des Lumières.

 

Extraits

« Je demande [...] ce que c’est que le grand secret de mélancolie que la lune raconte aux chênes. Un homme de sens, en lisant cette phrase recherchée et contournée, en reçoit-il quelques idées nettes ? » (sur Atala).

« Tout cela, charlatanerie pure, mauvaise excuse du style emphatique, recherché, et obscur » (sur Atala).

« Nous demandons qu’on nous explique [...] comment la religion chrétienne met du vague dans le désert, et comment elle y apporte la mélancolie et la tristesse, et en quoi elle peut servir par là la poésie descriptive » (sur le Génie du Christianisme).

« C’est encore un vice notable dans le plan et la composition de l’ouvrage, que M. de Chateaubriand y soit constamment occupé de faire prendre pour guide l’imagination au lieu de la raison [...] » (sur le Génie du Christianisme).

« Quel rapport, quelle analogie peut-on imaginer entre une belle femme et une tente ou un pavillon ? » (sur les Martyrs).

« Ces défauts sont presque tous autant d’écarts d’une imagination brillante, mais déréglée ; féconde, mais bizarre ; d’un esprit abondant, mais négligent dans son choix » (sur les Martyrs).

« Ce n’est pas tout d’être chrétien, il faut être poli, surtout envers les jeunes filles » (sur les Martyrs).


N° 2 (décembre 2011)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 2

168 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 978-2-9504496-1-0

 

Ce numéro reproduit la première partie d’un ouvrage publié en 1859 par le comte de Marcellus : Chateaubriand et son temps, commentaire, tome par tome, des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand qui avaient paru chez Penaud en 1849-1850.

Marcellus, qui fut secrétaire d’ambassade de Chateaubriand à Londres en 1822, y mêle des souvenirs intimes de l’écrivain durant cette ambassade, des appréciations personnelles sur les événements relatés, des commentaires sur la composition et le style des Mémoires, etc.

Chateaubriand trouva dans Marcellus (1795-1861), célèbre pour son rôle dans l’acheminement en France de la Vénus de Milo, un confident et un interlocuteur d’une grande qualité, dont la carrière et l’œuvre présentent de nombreux points communs avec celles de Chateaubriand. Il mena une carrière diplomatique importante durant la Restauration, notamment à Constantinople, Londres, Madrid et Lucques. Il se retira de la vie publique par fidélité aux Bourbons, refusant de servir Louis-Philippe en 1830. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels des Souvenirs diplomatiques. Correspondance intime de M. de Chateaubriand (1858), sur la politique de 1822-1823, mais aussi d’importants Souvenirs de l’Orient (1839).

Les deuxième et troisième parties de Chateaubriand et son temps ont été publiées dans les numéros 3 et 4 des Cahiers de la Maison de Chateaubriand.

 


N° 3 (juillet 2012)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 3

172 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 978-2-9504406-2-7

 

Ce numéro reproduit la seconde partie d’un ouvrage publié en 1859 par le comte de Marcellus : Chateaubriand et son temps, commentaire, tome par tome, des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand qui avaient paru chez Penaud en 1849-1850.

Marcellus, qui fut secrétaire d’ambassade de Chateaubriand à Londres en 1822, y mêle des souvenirs intimes de l’écrivain durant cette ambassade, des appréciations personnelles sur les événements relatés, des commentaires sur la composition et le style des Mémoires, etc.

Chateaubriand trouva dans Marcellus (1795-1861), célèbre pour son rôle dans l’acheminement en France de la Vénus de Milo, un confident et un interlocuteur d’une grande qualité, dont la carrière et l’œuvre présentent de nombreux points communs avec celles de Chateaubriand. Il mena une carrière diplomatique importante durant la Restauration, notamment à Constantinople, Londres, Madrid et Lucques. Il se retira de la vie publique par fidélité aux Bourbons, refusant de servir Louis-Philippe en 1830. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels des Souvenirs diplomatiques. Correspondance intime de M. de Chateaubriand (1858), sur la politique de 1822-1823, mais aussi d’importants Souvenirs de l’Orient (1839).

Les première et troisième parties de Chateaubriand et son temps ont été publiées dans les numéros 2 et 4 des Cahiers de la Maison de Chateaubriand.


N° 4 (mars 2013)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 4

166 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 978-2-9504496-4-1

 

Ce numéro reproduit la troisième et dernière partie d’un ouvrage publié en 1859 par le comte de Marcellus : Chateaubriand et son temps, commentaire, tome par tome, des Mémoires d’outre-tombe de Chateaubriand qui avaient paru chez Penaud en 1849-1850.

Marcellus, qui fut secrétaire d’ambassade de Chateaubriand à Londres en 1822, y mêle des souvenirs intimes de l’écrivain durant cette ambassade, des appréciations personnelles sur les événements relatés, des commentaires sur la composition et le style des Mémoires, etc.

Chateaubriand trouva dans Marcellus (1795-1861), célèbre pour son rôle dans l’acheminement en France de la Vénus de Milo, un confident et un interlocuteur d’une grande qualité, dont la carrière et l’œuvre présentent de nombreux points communs avec celles de Chateaubriand. Il mena une carrière diplomatique importante durant la Restauration, notamment à Constantinople, Londres, Madrid et Lucques. Il se retira de la vie publique par fidélité aux Bourbons, refusant de servir Louis-Philippe en 1830. Il est l’auteur de plusieurs ouvrages, parmi lesquels des Souvenirs diplomatiques. Correspondance intime de M. de Chateaubriand (1858), sur la politique de 1822-1823, mais aussi d’importants Souvenirs de l’Orient (1839).

Les première et deuxième parties de Chateaubriand et son temps ont été publiées dans les numéros 2 et 3 des Cahiers de la Maison de Chateaubriand.


N° 5 (décembre 2013)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 5

176 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 979-10-93187-00-6

 

Génial, égotiste, ambitieux, ridicule, charmant, sévère, gai, hypocrite, homme politique d’envergure, homme de Lettres égaré dans les affaires… Les témoignages et les jugements de contemporains sur la personne et l’œuvre, tant littéraire que politique, de Chateaubriand reflètent aussi bien leurs propres opinions qu’ils pointent, en creux, ce que l’auteur des Mémoires d’outre-tombe conserva de secret en dépit de sa longue carrière publique.

Sur une suggestion de son Comité scientifique, le numéro 5 des Cahiers de la Maison de Chateaubriand réunit une première série de ces témoignages et de ces jugements (série complétée par une seconde, publiée dans le numéro 6).

 

Extraits

« Plus on le connaît et plus on sent qu’il ne peut lui-même s’attacher à rien » (Mathieu Molé).

« ... c’était une grande sensibilité littéraire, et le plus grand style qu’un homme puisse avoir en dehors du naturel, le génie des ignorants » (Alphonse de Lamartine).

« Ceux qui arrivaient jusqu’à M. de Chateaubriand après avoir traversé ses ouvrages et franchi pour ainsi dire son éblouissante renommée, étaient émerveillés de trouver chez lui une gaieté douce, une facilité charmante, une aimable sérénité » (Jean-Jacques Ampère).

« M. de Chateaubriand n’a aucune faiblesse pour le genre humain, il ne s’est jamais occupé que de lui-même et de se faire un piédestal d’où il puisse dominer sur son siècle » (Mme de Boigne).

 


N° 6 (avril 2015)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 6

176 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 979-10-93187-04-4

 

Dans la lignée du numéro précédent (n° 5), ce volume donne à lire des portraits de Chateaubriand vu par ses contemporains, recueillis au fil de lectures de mémoires, correspondances, études littéraires...

Ces témoignages admiratifs, sévères, amusants ou acerbes, sont autant de manières de (re)découvrir l’auteur, incarné sous les plumes bigarrées de Lamartine, Stendhal, George Sand, Jean-Jacques Ampère, de la femme de lettres et journaliste Delphine de Girardin, de la poétesse Marceline Desbordes-Valmore, du peintre Étienne-Jean Delécluze, du célèbre ministre de la police de Napoléon, Joseph Fouché, de Ballanche, l’ami fidèle de Chateaubriand, ou encore de son voisin à la Vallée-aux-Loups, Henri de Latouche...

 

Extraits

« [...] enivré de gloire et d’espérance, il était déjà ce que nous l’avons vu dans ses jours d’adversité et de décadence, rogue et dédaigneux, étalant avec complaisance une personnalité naïve presque jusqu’au cynisme, une vanité envieuse, amère et morose, mécontent de tout, de tous et de chacun [...] » (Victor de Broglie).

« Il est très fâcheux que Chateaubriand ait eu plus de vanité que d’orgueil ; au lieu de rivaliser ridiculement avec Homère, Bossuet et Fénelon, il eût été Chateaubriand tout net, ce qui aurait beaucoup mieux valu pour nous comme pour lui » (Étienne-Jean Delécluze).

« M. de Chateaubriand ne faisait guère de frais dans son salon, mais il était simple et cordial. Sa politesse affectueuse donnait du prix à peu de mots. Il aimait, il encourageait la jeunesse, et paraissait heureux de ses ardentes sympathies ; il n’affectait ni poses ni discours d’apparat » (comte de Falloux).

« [...] le Chateaubriand de la Vallée aux loups a toujours été pour moi le véritable Chateaubriand. L’un était un rôle, l’autre était un homme » (Alphonse de Lamartine).

« [...] moi qui ai tant aimé l’auteur, je me désole de ne pouvoir aimer l’homme » (George Sand).

 


N° 7 (juin 2017)

Cahiers de la Maison de Chateaubriand n° 7

160 pages ; cahier hors texte 36 pages - 15 x 21 cm
10 € 5 €
ISBN : 979-10-93187-09-9

 

Le présent volume reproduit plusieurs extraits et planches gravées de la Description des nouveaux jardins de la France et de ses anciens châteaux, d’Alexandre de Laborde, ouvrage publié de 1808 à 1815, qui illustre le goût pour les jardins qui prévalait au début du XIXe siècle.

L’auteur, écrivait un critique du temps, s’est proposé « d’enseigner par l’exemple et le précepte l’art de former et d’embellir les jardins ; de bâtir de jolies maisons de campagne ; de conserver, en l’appropriant à nos mœurs nouvelles, le peu qui reste encore de ces anciens manoirs, autrefois si nombreux sur le sol de la France ».

Chateaubriand, croit-on, a prêté sa plume au « Discours préliminaire sur la vie de la campagne et la composition des jardins » qui ouvre l’ouvrage. Et d’autres liens unissaient l’écrivain à Alexandre de Laborde, frère de Natalie de Noailles, la « Sirène » de Méréville que l’Enchanteur rencontra en 1805. Celle que l’on devine sous les traits de plusieurs personnages de Chateaubriand, se devine également au fil des pages, sœur et amante, muse et artiste. De Méréville, elle offrit au propriétaire de la Vallée-aux-Loups des arbres pour son parc. De cette « maison soignée, ornée d’un portique et de portes pittoresques, qui dominent un jardin bien planté », le visiteur peut encore apprécier les charmes aujourd’hui. Avec la Description des nouveaux jardins de la France…, il peut se plaire à imaginer le soin mis par Chateaubriand à appliquer à la Vallée-aux-Loups « l’art des jardins » décrit ici par Alexandre de Laborde.

 


N° 8 (décembre 2018)

Couverture Cahiers MDC 8 1re de couverture

220 pages - 15 x 21 cm
10 €
ISBN : 979-10-93187-13-6

 

Chateaubriand et la politique

Parmi les nombreuses manifestations organisées à l’occasion du 250e anniversaire de la naissance de Chateaubriand par la maison de Chateaubriand, la Société Chateaubriand et l’Association des Amis de
la maison de Chateaubriand, une journée particulière a été consacrée à Chateaubriand et la politique.

Elle s’est tenue le 15 juin 2018, au Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups – parc et maison de Chateaubriand, et a permis à un public nombreux d’entendre dix intervenants : Béatrice Didier, Patrick Devedjian, Jean Tulard, Olivier Tort, Carolina Armenteros, Jeanne Vauloup, Flavien Bertran de Balanda, Guy Berger, Hervé Robert, Bernard Degout.

Les actes de cette journée sont recueillis dans la présente livraison (la 8e) des Cahiers de la Maison de Chateaubriand.

 

Sommaire

 

Ouverture du colloque

Béatrice Didier : Éditer les œuvres politiques de Chateaubriand

 

Chateaubriand, homme politique

Patrick Devedjian : Chateaubriand, homme politique vu par un homme politique contemporain

Jean Tulard : Chateaubriand face à la Révolution française

Olivier Tort : Chateaubriand, leader politique ?

 

Chateaubriand penseur de la politique

Carolina Armenteros : Le XVIIIe siècle des royalistes : l’héritage politique de Montesquieu et de Voltaire, 1771-1831

Jeanne Vauloup : Le crépuscule de la Grèce au regard de l’homme-frontière


Chateaubriand au milieu des controverses politiques

Flavien Bertran de Balanda : Chateaubriand et Bonald : légitimité et sens de l’Histoire

Guy Berger : Chateaubriand et le débat sur la conversion des rentes et le financement de l’indemnité due aux émigrés en 1824-1825

Hervé Robert : Chateaubriand et ses contradicteurs dans le débat public de l’année 1831

 

Conclusion

Bernard Degout

 

Présentation des intervenants

 


N° 9 (décembre 2019)

CahiersMDC9 couv 600px

288 pages ; cahier hors texte 8 pages - 15 x 21 cm

10 €
ISBN : 979-10-93187-15-0

 

Juliette Récamier

Juliette Récamier, née le 3 décembre 1777 à Lyon et morte le 11 mai 1849 à Paris, est une femme d’esprit dont le salon parisien réunit, à partir du Directoire et jusqu’à la monarchie de Juillet, les plus grandes célébrités du monde politique, littéraire et artistique.

L’année 2019 marque le 170e anniversaire de sa mort.

À cette occasion, la maison de Chateaubriand lui consacre le 9e numéro de ses Cahiers, autour d’un manuscrit en partie inédit de Louis de Loménie. Auteur d’une Galerie des contemporains illustres par un homme de rien, Louis de Loménie livre ici un témoignage précieux sur l’Abbaye-aux-Bois, où Juliette Récamier s’était installée en 1819 et dont le salon fut le rendez-vous de nombreuses personnalités du temps, et pour Chateaubriand une véritable « scène » sur laquelle « l’influenceuse » que fut madame Récamier lui assura le meilleur rôle.

On y lira également – complétées par plusieurs notices biographiques et documents – l’évocation de la mythique relation de Juliette Récamier avec Chateaubriand, et l’histoire de la « Belle des belles » à la Vallée-aux-Loups, où elle séjourna et où sa présence demeure, ainsi que le montrent les pièces des collections de la maison de Chateaubriand ici présentées.

 

Sommaire

 

Chateaubriand et Juliette Récamier

Catherine Decours : François-René de Chateaubriand et Juliette Récamier : mythe et réalités

Bernard Degout : Un mot sur un nom offert à la mer au Lido, le 16 septembre 1833

 

Louis de Loménie, témoin de son temps

Louis de Loménie (1815-1878)

Discours de réception à l’Académie française d’Hippolyte Taine (15 janvier 1880), élu au fauteuil de Louis de Loménie

Témoignage inédit de Louis de Loménie sur madame Récamier et l’Abbaye-aux-Bois

Notices extraites de la Galerie des contemporains illustres par un homme de rien, précédées d’un extrait de la préface de la deuxième édition :

- François-René de Chateaubriand
- Pierre-Simon Ballanche
- Augustin Thierry
- Jean-Jacques Ampère

 

Juliette Récamier à la Vallée-aux-Loups

Lila Maurice-Amour et Pierre Riberette : Madame Récamier à la Vallée-aux-Loups

La présence de Juliette Récamier dans les collections de la Maison de Chateaubriand

 

Appendices

Extrait des Souvenirs de Paris en 1804 d’August von Kotzebue

Extrait des Mémoires de Constant (Souvenirs d’une dame du palais impérial)

Extraits de la Physiologie du goût de Jean Anthelme Brillat-Savarin