Plongez-vous dans l'exposition en cours et les expositions passées de la Maison de Chateaubriand. 


2023-2024 : Renée ou la nature des choses. Œuvres de Marie Denis

Du 25 mars 2023 au 24 mars 2024

La maison de Chateaubriand présente le temps d’une année une exposition de l’artiste contemporaine Marie Denis, invitation à (re)découvrir la demeure de l’écrivain à l’aune d’une célébration de la nature.

En continuité avec le parc littéraire, l’artiste fait entrer la nature à l’intérieur de la maison, et orchestre la rencontre entre son univers artistique et celui du lieu.

La poésie des œuvres de Marie Denis dialogue avec la mémoire de la maison et résonne avec la pensée et l’œuvre de Chateaubriand. Les salles invitent à l’observation et à la contemplation de la beauté et de la délicatesse des formes que produit la nature, en écho à l’univers de l’écrivain jardinier qui dessina lui-même le parc de la Vallée-aux-Loups.

L’exposition est réalisée en partenariat avec la Galerie Alberta Pane (Paris et Venise).

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2022 : Étoffes et Littérature. Les textiles dans la littérature au XIXe siècle

Du 22 janvier au 24 juillet 2022 

L’exposition invite à un voyage inédit et singulier dans l’univers de la littérature et des étoffes d’ameublement au XIXe siècle. Vous allez découvrir des textiles décoratifs tissés, imprimés ou brodés ; ils étaient destinés aux tentures murales, rideaux et portières, bandeaux et écrans de cheminée, sièges et canapés, coussins, lits, paravents, tapis et moquettes. De nombreux écrivains s’y intéressèrent, aussi bien pour la décoration de leurs demeures que pour l’écriture de leurs romans.

Feuilletez le catalogue de l'exposition 

Honoré de Balzac, Victor Hugo, George Sand, Edmond et Jules de Goncourt, Émile Zola, Guy de Maupassant, comme Jean Cocteau plus tard, étaient particulièrement investis dans l’aménagement de leurs intérieurs. Cette présentation éclaire leur univers intime, reflet de leurs goûts et de la symbolique qu’ils y attachaient. Dans certains romans réalistes comme Le Cousin Pons, Bel-Ami, Au Bonheur des Dames, Nana ou La Conquête de Plassans, les écrivains parsèment leurs pages de descriptions d’intérieurs et de tissus d’ameublement ; ces derniers caractérisent une époque et un contexte social, campent des personnages et des décors, évoquent des sens et des sensations.

Une galerie de textiles, tactile, évoque la diversité des étoffes rencontrées au fil des pages : grâce à l’expérience du toucher, la percale, le sergé, la moire, la brocatelle, le damas, le velours d’Utrecht ou de Gênes, ou encore le lampas et le brocart n’auront plus de secret pour vous.

La place importante des métiers des étoffes dans les romans, favorisée par la révolution industrielle, lève un voile sur les manufactures, les grands magasins, le tapissier, la grisette, la blanchisseuse ou encore le vendeur. Quant à François de Chateaubriand, il n’était pas intéressé par les tissus d’ameublement, mais utilisait le vocabulaire des étoffes pour tisser des métaphores en lien avec la nature dans ses écrits. Il a surtout vu certaines de ses célèbres œuvres — Atala, Les Martyrs et Les Aventures du dernier Abencerage — inspirer les beaux-arts et les arts décoratifs, dont des toiles à personnages ; vous pourrez en apprécier des exemplaires. Certains ouvrages, documents, œuvres et archives textiles sont peu connus et rarement exposés, d’autres le sont pour la première fois.

À mi-chemin entre l’histoire littéraire et les arts décoratifs, la visite se poursuit dans le parcours permanent de la maison de Chateaubriand, où les textiles garnissent les murs et le mobilier dans l’esprit du XIXᵉ siècle. Découvrez en particulier la chambre de Chateaubriand et celle de Juliette Récamier, récemment rénovées avec des tentures rééditées à partir d’archives textiles des maisons Le Manach et Braquenié dans le cadre d’un mécénat de la maison Pierre Frey.

Les commissaires de l’exposition

Sophie Rouart, responsable du patrimoine de la Maison Pierre Frey.

Anne Sudre, responsable de l'unité de la conservation de la Maison de Chateaubriand. 

 

Conférence : « Tapisserie médiévale et tapis oriental dans Notre-Dame de Paris de Victor Hugo »

Dans le cadre de l'exposition « Étoffes et Littérature. Les textiles dans la littérature au XIXe siècle », cette conférence traite de la place et de l'importance des textiles dans l'œuvre de Victor Hugo, Notre-Dame de Paris. Elle est animée par Virginie Wichert, maître de conférences au département des langues et des littératures romanes à l’Université de la Sarre, à Sarrebruck.

 

  

Conférence : 
« Le commerce des étoffes dans le roman : réalité ou invention ? » 


Dans le cadre de l’exposition Étoffes et littérature. Les textiles dans la littérature au XIXe siècle, Sophie Rouart, responsable du patrimoine de la Maison Pierre Frey a animé une conférence sur « Le commerce des étoffes dans le roman : réalité ou invention ? » le samedi 5 mars 2022.
A travers une sélection de romans naturalistes, Sophie Rouart décrypte les choix des écrivains dans l’élaboration de leur narration, entre fantasme et réalité. L’évolution des modes de commercialisation des tissus au XIXe siècle, de la boutique au Grand magasin, est également abordée avec un focus sur la Maison Braquenié.

 

2021 : Franz Ludwig Catel. Un peintre romantique dans la Calabre napoléonienne

Du 18 septembre au 19 décembre 2021 

La Bibliothèque nationale de France (BnF) présente, pour la première fois, une quarantaine de dessins réalisés par le peintre et illustrateur Franz Ludwig Catel, au début du XIXe siècle, lors de son périple en Calabre. Région relativement méconnue à cette époque, l’artiste profite de son expédition pour immortaliser sur ses carnets les monuments qu’il rencontre ou les villages qu’il traverse.

Découvrez l'exposition virtuelle & feuilletez le catalogue de l'exposition 


En 1812, l’archéologue Aubin-Louis Millin engage le peintre, dessinateur et illustrateur prussien Franz Ludwig Catel pour rapporter des images de Calabre, région italienne sauvage et méconnue. Millin est dans une démarche scientifique. Il revient avec des notes et une importante collection de dessins au crayon et à la plume, en partie acquises en 1819 et 1822 par la Bibliothèque royale (actuelle Bibliothèque nationale de France). Récemment redécouverts, datés et attribués grâce aux notes inédites de l’archéologue, quarante dessins seront présentés, pour la première fois en France, à la Vallée-aux-Loups.

Millin et Catel sont accompagnés, dans leur périple, du jeune Astolphe de Custine, fils de la belle Delphine, ancien amour de Chateaubriand. L’Enchanteur a presque été un père pour Astolphe, qui lui voue une sincère admiration. Devenu écrivain à son tour, Custine publiera quelques années plus tard le récit de son aventure calabraise. L’exposition suit la chronologie de l’expédition et permet un dialogue entre les descriptions de Custine et les dessins de Catel, qui, un des premiers, utilise la chambre claire, outil destiné à accélérer le temps de réalisation des relevés de paysages.

Les commissaires de l’exposition

Bernard Degout, directeur de la Maison de Chateaubriand ;

Corinne Le Bitouzé, adjointe au directeur du département des Estampes (BnF) ;

Gennaro Toscano, conseiller scientifique ; direction des Collections (BnF).

2021 : Romance à l'Alhambra

Du 10 octobre 2020 au 4 avril 2021

L’Espagne du XVe siècle, les palais et les jardins de l’Alhambra fascinent les artistes du XIXe siècle, dont Chateaubriand et Cherubini. L’écrivain et le compositeur laissent respectivement une nouvelle et un opéra, racontant l’histoire d’amour impossible entre un prince maure et une princesse chrétienne. 

Les deux œuvres ont en commun un décor, un contexte et une puissante lignée, celle des Abencérages, tribu arabe du royaume de Grenade ; cette ville chargée d’histoire où Chateaubriand séjourne de retour de son voyage en Orient en 1807. C’est là qu’il imagine Les Aventures du dernier Abencérage, à partir d’une histoire romanesque des guerres entre les Maures et les Chrétiens écrite par Ginés Perez de Hita à la fin du XVIe siècle. Rédigé en 1810, le texte est publié en 1826 dans ses Œuvres complètes. L’exposition en présente les différentes éditions, des illustrations, des manuscrits et évoque sa passion pour Natalie de Noailles, qu’il retrouve également en Espagne et qui constitue une autre source d’inspiration pour sa nouvelle chevaleresque.
Cherubini s’empare à son tour du sujet avec Les Abencérages ou l’étendard de Grenade, créé en 1813 sur un livret d’Étienne de Jouy d’après un roman poétique de Jean-Pierre Claris de Florian, mort à Sceaux en 1794.

De la littérature à la scène

Si son histoire n’a aucun lien avec la fiction de Chateaubriand, cette dernière inspire ensuite Aben-Hamet, de Théodore Dubois en 1884 jusqu’à Jean-Claude Malgoire en 2014 ; elle est également reprise sur les planches avec Le dernier Abencérage de Pierre-François Beauvallet en 1851 ou Boabdil d’Élisa Mercœur en 1831.

Autant de variations présentées dans les salles de la Maison de Chateaubriand au gré des peintures, sculptures, partitions, affiches, livrets d’opéra, costumes, accessoires, dessins et gravures... Enrichie de prêts de la Bibliothèque nationale de France, de la Comédie française, du musée d’Orsay, du musée de la Musique, du musée Carnavalet et du musée de Saragosse (Espagne), l’exposition dévoile de nombreux inédits dont des archives récemment découvertes par les descendants de Cherubini dans la maison familiale, qui révèlent des aspects jusque-là ignorés du compositeur.

Feuilletez le catalogue de l'exposition 

Commissariat de l'exposition

Bernard Degout, directeur de la Maison de Chateaubriand

Anne Sudre, responsable de l’unité de la conservation de la Maison de Chateaubriand

Chargé d’exposition : Jean-Rémi Bertrand

ExpoVirtuelle 

L'exposition "Romance à l'Alhambra" en mode virtuelle
Plongez dans cette histoire d'amour avec la version virtuelle de cette exposition sur 

https://stories.hauts-de-seine.fr/romance-alhambra/

 

« Le Rendez-vous de Grenade » par Marie-Claude Jardin

En rentrant de son grand voyage en Orient, Chateaubriand s’arrête à Grenade. Pour admirer l’Alhambra ? Plutôt pour y retrouver sa maîtresse, Natalie de Noailles… Ayant accompagné son frère en Espagne, elle a fait savoir à l’écrivain qu’elle l’y attendait.
Marie-Claude Jardin, biographe de l'Enchanteresse de Chateaubriand, présente les retrouvailles de Chateaubriand celle qui lui inspira les personnages de Velléda (Les Martyrs, 1809) et de Blanca (Les Aventures du dernier Abencerage, écrit en 1810).

 

 

2020 : Une vie à l'oeuvre : Louise de Vilmorin (1902-1969)

Du 19 octobre 2019 au 15 mars 2020

A l'occasion des 50 ans de la mort de Louise de Vilmorin, la Maison de Chateaubriand célèbre sa vie et son oeuvre. Cette exposition propose de parcourir ses romans, poèmes, correspondances et tableaux. Le parcours propose de découvrir le travail d'une artiste protéiforme au delà de la femme sentimentale, amie et amoureuse des plus grands écrivains du XXe siècle.



 

Conférence : « Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur Louise de Vilmorin » par Olivier Muth

Derrière la femme mondaine, l'oeuvre d'une vie : tour à tour romancière, poète, scénariste, journaliste… Cette conférence donnée par Olivier Muth, commissaire de l'exposition, conservateur en chef du patrimoine, directeur des Archives départementales des Hauts-de-Seine présente la vie et l’œuvre de Louise de Vilmorin, artiste protéiforme inspirée par Antoine de Saint-Exupéry, André Malraux, Jean Cocteau, Francis Poulenc, Jean Hugo ou encore Louis Malle. 50 ans après sa disparition, découvrez la vie et l’œuvre de la célèbre salonnière. 

 

 

 

2019 : André Boubounelle 

Du 18 mai au 25 août 2019 

A une époque où les pratiques mettent souvent de côté le pictural et le figuratif, André Boubounelle inscrit ses paysages dans la tradition classique de Pierre-Henri de Valenciennes et de Corot.

Qu’ils soient lumineux ou brumeux, ses paysages dégagent une délicate poésie, une sorte de mélancolie. Comme Chateaubriand, Boubounelle transcrit l’expérience universelle de l’homme face à la nature, ce qui donne une intensité émotionnelle rare à ces tableaux : en immersion, on se promène dans des paysages familiers, de la Seine sous la neige à la campagne ensoleillée du Vexin en passant par la forêt de Rambouillet.

L’exposition présentait une quarantaine de tableaux dans la Maison de Chateaubriand et se poursuivait avec une promenade littéraire dans le parc où étaient égrainées des citations choisies sur le thème du paysage.

 

2018-2019 : L'Empire des boîtes 

Du 20 octobre 2018 au 10 mars 2019

A l’occasion des 250 ans de la naissance de Chateaubriand, la Fondation Napoléon présente à la Maison de Chateaubriand des objets impériaux. L'Empire en boîtes présente près de quatre-vingts petits et grands objets des collections de la Fondation Napoléon, la plupart destinés à être transportés par leurs propriétaires (boîtes aux diverses usages, encriers, vaisselle, portraits, nécessaires de voyage…).

A travers ces objets, l’exposition met en lumière une autre part de l’histoire napoléonienne : non pas les batailles et les conquêtes, mais la somptueuse vie de la cour impériale et des élites de l’époque, les voyages, l’exil de Sainte-Hélène, les débuts de la légende. De leur vivant, l’empereur et l’écrivain s’insupportèrent, mais la postérité a largement fait passer ces inimitiés au second plan. Cette exposition est l’occasion de rassembler sereinement ces deux grandes figures dans le décor de leur époque et de leur vie domestique.

En partenariat avec la Fondation Napoléon

Commissariat : Elodie Lefort, responsable des collections de la Fondation Napoléon, avec les contributions de Thierry Lentz, directeur de la Fondation Napoléon / Maison de Chateaubriand : Bernard Degout

 Feuilletez le catalogue de l'exposition 

 

 

 

2018 : Goethe et Chateaubriand. Regards croisés devant les paysages 

Du 19 mai au 19 août 2018

A l’occasion des 250 ans de la naissance de Chateaubriand, cette exposition inédite présente près de 50 dessins et aquarelles de Goethe, restaurés en 2018, qui évoquent les paysages romantiques de l’Italie, l’Allemagne ou la Suisse. L’exposition se prolonge dans le parc que Chateaubriand avait lui-même façonné comme un paysage littéraire. Chateaubriand et Goethe ont fait plusieurs voyages en Italie, en Suisse et en Bohême, et ces expériences les ont profondément marqués et inspirés. Le premier a décrit longuement ces paysages romantiques pittoresques, le second les a non seulement décrits mais aussi dessinés.

À travers le dessin et l’écriture, cette exposition invite le visiteur à une promenade dans des paysages intensément et intimement ressentis et décrits, une sorte de voyage initiatique dans les influences et inspirations des deux auteurs. L’exposition « Goethe et Chateaubriand, regards croisés devant les paysages » est l’occasion de mieux connaître l’auteur allemand aux multiples talents, et de confronter les visions de deux grandes figures de la République européenne des Lettres.

Cette exposition est sans précédent, d’abord grâce au prestigieux partenariat avec le musée national Goethe à Weimar (inscrit au Patrimoine mondial de l’Unesco, faisant partie de la Fondation Weimarer Klassik qui reçoit près de 700 000 visiteurs par an), ensuite car les œuvres prêtées par cette fondation ont été récemment restaurées, et n’ont pas été présentées depuis de nombreuses années, ce qui donne à cette exposition un caractère inédit.

En partenariat avec Goethe Institut
Commissariat de l’exposition : Fondation Weimarer Klassik, Professeur Hermann Mildenberger ; Maison de Chateaubriand, Bernard Degout

 

Feuilletez le catalogue de l'exposition  

 

Réaction de Patrick Devedjian à propos de l'exposition

 

 

2017-2018 : Nuits américaines. L'histoire de Chateaubriand vue par Sophie Kitching 

 Du 14 octobre 2017 au 4 mars 2018

L’exposition Nuits Américaines invite à la découverte d’une histoire, celle de Chateaubriand parti seul en Amérique à la fin du XVIIIe siècle. Par le travail d’écriture, l’auteur réactive le souvenir de son expérience immersive de la nature « sauvage et sublime ». Sophie Kitching, artiste contemporaine ayant déjà exposé au Palais de Tokyo, propose un travail qui s'inspire du souvenir de Chateaubriand, d'une nuit passée près des chutes du Niagara et qu'il n'a cessé d'évoquer pendant toute sa vie. Sophie Kitching se pose donc la question du souvenir et de la réécriture dans cette exposition. L'rtiste plasticienne s’est appuyée sur cette élaboration du souvenir, par addition et superposition, ainsi que sur son effacement progressif, pour produire une nouvelle version de la Nuit de Chateaubriand. À travers une diversité de techniques (installation, performance, peinture, photographies, vidéo), Sophie Kitching privilégie les approches sensibles et immersives destinées à évoquer l’expérience telle qu’a pu la vivre l’auteur. L’exposition de ses œuvres est complétée par la présentation du matériau provenant des collections de la maison de Chateaubriand sur lequel elle a fondé son travail.

 

Feuilletez le catalogue de l'exposition  

 

 

 

2017 : Paysage(s). L'étrange familier de Véronique Ellena

Du 22 avril au 23 juillet 2017

 

Cette exposition de photographies prend pour sujet le paysage et la nature, dans un nouvel espace d’installations temporaires au sein de la maison de Chateaubriand. L'art contemporain s'expose à la maison de Chateaubriand avec une série de paysages dans la tradition d'un genre pictural traversant les âges depuis la Renaissance et alliant méditation et romantisme. 

Ces photographies, issues des deux séries de paysages de Véronique Ellena, entrent en résonance avec le Domaine départemental de la Vallée-aux-Loups, son patrimoine vert et sa tradition de création artistique. Elles explorent toutes, sous des prismes variés, le sujet de la nature en s’inscrivant d’une façon renouvelée dans la tradition de la peinture de paysages. Cette mise en abyme de la nature réelle dans la nature recomposée par le regard du photographe constitue pour le visiteur une invitation à la méditation qu’il peut prolonger dans le parc.

L'artiste, Véronique Ellena a été pensionnaire de la Villa Médicis. Ses images sont présentes dans de nombreuses collections privées et publiques (Musée d’art moderne de la ville de Paris, Centre Pompidou – Musée national d’art moderne, Centre national d’art contemporain, Musée de la Photographie de Charleroi, Frac Île-de-France…), en France comme à l’étranger (Galerie du Château d’eau à Toulouse, Musée Malraux au Havre, Sungkok Museum à Séoul, Casino Luxembourg, Arles...). Sa série Clairs-Obscurs a été sélectionnée par la commission mécénat de la Fondation Nationale des Arts Graphiques et Plastiques qui lui a apporté son soutien.

Commissariat

Guillaume Lasserre, chargé des arts visuels au Conseil départemental des Hauts-de-Seine

Véronique Ellena, artiste photographe

Interview de Véronique Ellena